Choquant : Jean-Jacques Goldman (71 ans) fait une révélation incroyable… vous ne croirez jamais ce qu’il a dit !

La légendaire icône de la musique française, Jean-Jacques Goldman, est désormais admirée par presque tout le monde pour sa musique, sa personnalité et son engagement envers des causes nobles. Mais il fut un temps, dont se souviennent les plus anciens, où l’artiste n’était guère apprécié par une certaine presse. Il avait alors dérapé…

De « Là-bas » à « Envole-moi » en passant par « Je te donne » et de nombreux autres tubes qui ont marqué l’histoire de la musique française, Jean-Jacques Goldman est considéré par de nombreux observateurs comme l’un des artistes les plus influents des 50 dernières années en France. Même s’il a disparu de la sphère publique depuis 20 ans, il est toujours aussi admiré.

Il faut dire que l’auteur-compositeur-interprète est un personnage à part dans le milieu du spectacle. Pas intéressé par la célébrité et les paillettes, maîtrisant parfaitement sa communication en toutes circonstances depuis ses débuts, Goldman n’est pas du genre à faire des vagues. Pourtant, il a dérapé de manière incompréhensible.

Le seul dérapage incontrôlé de la vie de Jean-Jacques Goldman

Pour comprendre les racines de cet épisode très malheureux, il faut remonter à l’apogée de la carrière de l’artiste. Car si aujourd’hui il est évident de saluer le génie de ce natif du 19ème arrondissement de Paris, sa musique a longtemps été critiquée, en particulier par certains critiques de gauche en raison de ses opinions politiques.

Touché par ces critiques incessantes, parfois très violentes et personnelles, Goldman a décidé en décembre 1985 de publier dans Libération une compilation des articles les plus méprisants à son égard. Dans son livre « Goldman », Ivan Jablonka rapporte la pensée du chanteur à cet instant :
« Convaincus que le succès est incompatible avec le talent, ces journalistes sont encore incompétents mais aussi lâches, car ils ne te critiquent que lorsque tu es fragile. »

Jusqu’ici, tout va bien. Mais ensuite, Goldman a complètement dérapé avec des propos très surprenants venant de sa part :
« Mais, conclut Jean-Jacques Goldman, on ne va pas faire couler le sang pour si peu, d’autant qu’ils sont ‘sûrement séropositifs’ – unique dérapage d’un homme à bout. »

Au beau milieu des années 1980, alors que le SIDA faisait rage, une telle remarque était évidemment discriminatoire, hors propos et comportait de sérieux relents homophobes. Les réseaux sociaux n’existant pas encore, Goldman en a réchappé sans trop de dommages sur son image. Une chance pour lui au regard de cette erreur.

Ivan Jablonka concède volontiers que Jean-Jacques Goldman était alors « à bout » face aux critiques et à la pression, mais rien ne justifie de tels propos. Nul doute, d’ailleurs, que l’artiste regrette aujourd’hui d’avoir prononcé ces paroles décidément bien regrettables.

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